Rechercher avec Connexions



Bibliothèque Connexions

Articles, livres, documents, périodiques, multi-média


Index des Titres

Index des noms d'Auteurs

Index des Sujets

Index de Chronologique

Spotlight

Index de Format

Index de Dewey

Index de la Biblioteque du Congrès

Español

Español: Índice temático

Deutsch

Deutsch: Themenindex

Connexipedia

Connexipedia – Sujets

Annuaire

Index des Sujets

Index par Associations


Vos Dons

Muriel Duckworth


Muriel_Duckworth
Née 31 octobre, 1908
Austin, Québec, Canada
Décédée 22 ao»t, 2009 (100 ans)
Magog, Québec, Canada
Occupation Militante pour la paix et pour la société
Religion Quaker

Muriel Helen Duckworth née Ball, CM, ONS (31 octobre, 1908 au 22 ao»t, 2009) était une pacifiste canadienne, une féministe et une militante sociale et communautaire.[1] Elle était un membre du groupe Quaker, un mouvement religieux qui sâest engagé dans la non-violence.[2] Duckworth a soutenu que la guerre avec sa violence systématique contre les femmes et les enfants est un obstacle majeur à la justice sociale. Elle a argumenté que lâargent dépensé pour les armements perpétue la pauvreté tout en renforçant le pouvoir des élites privilégiées.[3] Elle était persuadée que âla guerre est stupideâ et elle a fermement refusé dâaccepter les distinctions populaires entre les âbonnesâ et les âmauvaisesâ guerres.[4]

Duckworth était un membre fondateur de Nova Scotia Voice of Women (La voix des femmes de la Nouvelle-Écosse), une branche provinciale de lâorganisation nationale de la paix nommée La voix des femmes (Voice of Women (VOW)).[5] De 1967 à 1971, elle a été présidente de VOW menant des protestations contre lâappui discret du gouvernement canadien à la guerre au Viêt Nam conduit par les États-Unis.[6]

Duckworth a été la première femme à Halifax à convoiter un siège à la Chambre dâassemblée de la Nouvelle-Écosse.[7] Elle a également dirigé les efforts organisés par la communauté visant à lâamélioration de lâéducation, du logement, de lâaide sociale et de la planification municipale.[8] Durant ses dernières années, Duckworth sâest joint à lâorganisation Raging Grannies de la section dâHalifax, un groupe qui compose et chante des ballades satiriques pour promouvoir la justice sociale.[9]

Duckworth a reçu de nombreuses distinctions honorifiques dont le Prix du Gouverneur général en commémoration de lâaffaire âpersonneâ en1981 et lâOrdre du Canada en 1983.[10] En 1991, elle a reçu la Médaille Pearson pour la paix.[11] On lui a aussi décerné 10 diplômes universitaires honorifiques.[12]


Table des matières

1 Influences dâenfance

1.1 Jeunesse et éducation

1.2 Anna Ball comme modèle

1.3 Ontario Ladies College

2 Années universitaires

2.1 McGill, 1925 à 1929

2.2 Mouvement chrétien des étudiants

2.3 Graduation et mariage

2.4 Union Theological Seminary

2.5 Vie de famille

3. Activités ultérieures

4. Mort et héritage

5. Notes

6. Références

7. Liens externes


Influences dâenfance

Jeunesse et éducation

Muriel Helena Ball est née en 1908 à la ferme de ses parents à Austin, Québec, un village dans les Cantons-de-lâEst environ 130 km à lâest de Montréal. Elle était lâun des cinq enfants dâAnna Westover et dâEzra Ball. Leur ferme était sur les rives pittoresques du lac Memphrémagog et Muriel y a passé ses premières années en appréciant la beauté naturelle autour dâelle.[13] Elle a été si profondément touchée par le paysage quâelle est revenue au chalet que sa tante et son oncle ont construit en 1913, presque chaque été pour le reste de sa vie.[14]

Bien que la ferme familiale convînt à lâélevage du bétail tel que les poulets et les bovins, la terre nâétait pas très fertile. La mère de Muriel complétait le revenu familial en prenant des pensionnaires dâété, tandis que son père vendait des paratonnerres.[15] Muriel est allée à une école de campagne dâune pièce jusquâà ce quâelle ait sept ans, ensuite elle a été transférée à une école plus grande dans la ville de Magog où elle était en pension durant la semaine avec deux frères et sÅurs et une tante.[16] En 1917, quand elle avait neuf ans son père a vendu la ferme et a acheté une épicerie et un dépôt dâalimentation à Magog. Il vendait aussi du bois et du pétrole. Lâannée suivante, sa mère a ouvert un salon de thé et une pension de famille accueillant les estivants qui arrivaient en bateau à vapeur et en train. Quand ils ont grandi, Muriel et ses deux sÅurs ont aidé leur mère à nettoyer, cuisiner, faire les lits et le service aux tables. Servir le public au salon de thé a aidé Muriel à faire face à sa timidité chronique.[17]

Anna Ball comme modèle

La carrière de sa mère comme femme dâaffaires prospère et son dévouement à servir la communauté pour lâéglise Méthodiste et le Woman's Christian Temperance Union ont eu une forte influence sur Muriel. Anna Ball avait une pension de famille, une rue de la gare. Elle a nourri les hommes souffrant de la faim, a donné refuge aux jeunes femmes sans abri qui venaient à Magog en train, a recueilli des fonds pour établir un foyer pour personnes âgées et a commencé une bibliothèque de prêt communautaire. Duckworth était également une admiratrice de Nellie McClung et dâAgnes Macphail, deux militantes politiques qui défendaient les droits des femmes.[18] Plusieurs décennies plus tard, Muriel a dit à un journaliste que lâexemple de sa mère lâa conduit vers lâactivisme social. Sa mère était une passionnée de ce quâelle faisait, a dit Muriel. Elle croyait quâelle pourrait avoir un effet positif et elle en a eu un.[18]

Ontario Ladies College

Après avoir terminé lâécole secondaire, qui a pris fin en 11e année, Muriel est allée à lâOntario Ladies College, une école de filles méthodiste à Whitby, Ontario. Sa tante, Abbie Ball, enseignait là et elle a offert de payer les frais scolaires de Muriel. Le collège offrait lâenseignement des langues, de lâhistoire, des mathématiques et de piano mais peu de science. Muriel, à 15 ans, était trop timide pour participer au théâtre, même si sa tante était la répétitrice de théâtre de lâécole. Elle a aussi souffert du mal du pays. Une fois par mois, des conférenciers invités, habituellement de lâÉglise unie du Canada, prenaient la parole devant les élèves de lâécole. Muriel sâest souvenue surtout de James Endicott, un missionnaire en Chine à lâépoque, qui est devenu un éminent chef religieux et une connaissance de toujours.[19]


Années universitaires

McGill, 1925 à 1929

Muriel a commencé des études à lâUniversité McGill de Montréal avec lâaide dâune petite bourse dâétudes collégiale et de lâargent de sa tante Abbie.[20] Elle était inscrite au programme universitaire de baccalauréat en arts et durant sa dernière année dâétudes elle a suivi les cours en éducation requis pour se qualifier pour le diplôme dâenseignement scolaire au niveau secondaire. Pratiquer lâenseignement en face dâune salle de classe remplie dâenfants en plus de ses compagnons dâétudes était particulièrement difficile pour elle, mais Muriel a caché sa peur si bien que le professeur-surveillant lâa félicité pour son manque apparent de nervosité.[21] Elle a également tenté de surmonter sa timidité en sâinscrivant à un concours oratoire et en sâoffrant pour rédiger le procès verbal lors des réunions des étudiants.[21]

Mouvement chrétien des étudiants

La participation de Muriel au Mouvement chrétien des étudiants (SCM) à McGill a été une expérience qui changea sa vie. "Regardant en arrière au fil des années," a-t-elle dit à son biographe, "Jâai toujours pensé que lâexpérience acquise auprès du SCM a été lâapprentissage le plus important pour moi, sans doute lâaspect le plus important de ma vie collégiale, plus important que nâimporte quel cours que jâai suivi."[22] Le SCM menait des petits groupes dâétudes où les étudiants étaient encouragés à discuter leur croyance librement et à conclure eux-mêmes la façon dâinterpréter lâÉvangile. Pour Muriel, ces discussions étaient troublantes et pénibles, mais aussi excitantes.[23] "Auparavant, jâai toujours considéré lâÉvangile comme si ses auteurs avaient décrit les évènements de la vie de Jésus au moment où ils se passaient, jour après jour," a-t-elle dit. "Admettre que tout a été écrit après la mort de Jésus a été un choc en lui-même. Mais cette affaire de débat franc et ouvert, où tout devait être contesté, interrogé, discuté, était complètement opposé à lâapproche autoritaire de lâéglise."[24] Les groupes dâétudes du SCM favorisaient une réflexion indépendante. "Ce fut pour moi le début dâune recherche mature pour la vérité," a dit Muriel à son biographe, "et lâimpression que tout est discutable."[23]

Graduation et mariage

En 1926, Muriel a rencontré Jack Duckworth, un étudiant à McGill qui était également actif auprès du SCM. Elle avait 18 ans et il avait 29 ans.[25] Duckworth fréquentait lâuniversité pour se qualifier pour un emploi au YMCA où il avait été bénévole, travaillant auprès des garçons à Vancouver. Pour financer ses études, il est devenu pasteur stagiaire et il a découvert ses talents en tant que pasteur. Il a décidé de continuer ses études en théologie après avoir obtenu sa maîtrise de lâuniversité McGill. En1928, Muriel et Duckworth se sont fiancés. À lâautomne, il a commencé deux années dâétudes à lâUnion Theological Seminary de la ville de New York (UTS). Muriel a gradué de McGill en mai 1929 et un mois plus tard les Duckworth se sont mariés simplement à Montréal. Ils ont commencé leur vie conjugale à New York où Duckworth complétait sa dernière année à UTS.[26]

Union Theological Seminary
Tant quâil existe une classe inférieure, jâen fais parti. Tant quâil existe un aspect criminel, jâen suis un. Et tant quâil reste un homme en prison, je ne suis pas libre.

-Eugene Debs. Dâune affiche qui pendait sur le mur de Muriel Duckworth à UTS, 60 ans plus tard.[27]

Muriel Duckworth sâest inscrite comme étudiante à temps plein à lâUnion Theological Seminary en 1929. Elle était aussi inscrite à UTS comme étudiante sur place où elle travaillait à temps partiel auprès de pauvres adolescentes dans une église de Hell's Kitchen (La cuisine de lâenfer) au West Side de New York.[28] Duckworth rencontrait ces jeunes filles de classe ouvrière, âgées de 16 et 17 ans, deux fois par semaine dans un groupe de loisir et dans une classe de catéchisme le dimanche. Elle visitait aussi leur maison acquérant des connaissances de première main sur les conditions éprouvées par les immigrants de la classe ouvrière qui vivaient à lâétroit, dans des appartements sans fenêtres à côté de "bruyants et fracassants" trains surélevés.[27] Durant ses études universitaires, Duckworth apprit au sujet du mouvement lâÉvangile social qui sâefforçait dâaméliorer la vie des gens grâce à des services sociaux et à lâéducation des adultes à un moment où la Grande Dépression ne faisait que commencer.[29] Ses professeurs à lâUTS incluaient Harry Ward, un socialiste qui a fait campagne pour les droits civiques et politiques et la théologienne connue Reinhold Niebuhr. "LâÉvangile social et le pacifisme étaient liés dans mon esprit," a dit Duckworth ajoutant avoir entendu parler dâEugene V. Debs " un héros travailliste qui était allé en prison pour lâopposition à la Première Guerre mondiale et qui a été candidat à la présidence des États-Unis tout en étant en prison "[30]

Vie de famille

Muriel et Jack Duckworth revinrent à Montréal en 1930 où ils ont commencé à élever une famille. Martin est né en 1933; Eleanor, nommée ainsi en lâhonneur dâEleanor Roosevelt, est née en 1935 suivi de John en 1938.[31] La famille a déménagé à Halifax, Nouvelle-Écosse en 1947 où Jack Duckworth a servi comme Secrétaire général du YMCA, tandis que Muriel était dévouée à lâéducation des adultes. De 1948 à 1962, Muriel a été conseillère à temps partiel en éducation parentale pour le Ministère de lâÉducation de la Nouvelle-Écosse.[32] Jack Duckworth mourut en mai 1975, à lââge de 76 ans, lorsque Muriel avait 66 ans.[33]


Activités ultérieures
Muriel_Duckworth_Coast_cover

Article-vedette du journal sur Muriel Duckworth qui a été honorée par la Société Elizabeth Fry en 1999.

Le pacifisme de Muriel Duckworth était reflété dans ses croyances religieuses et son travail au nom des organisations pour la paix. Elle était un membre fondateur de Nova Scotia Voice of Women (La voix des femmes de la Nouvelle-Écosse), une branche provinciale de la Voix des femmes (Voice of Women (VOW)).[5] Elle a été présidente nationale de VOW, maintenant appelée La voix des femmes canadiennes pour la paix, de 1967 à 1971.[34] Au cours de sa présidence, VOW a protesté vigoureusement contre la guerre au Viêt Nam conduit par les États-Unis. VOW condamnait aussi le soutien tacite du gouvernement canadien à la guerre et sa politique dâencouragement discret à la vente dâarmes fabriquées au Canada à lâarmée américaine.[35] En 1969 et 1971, Duckworth a contribué à lâorganisation extrêmement médiatisée de deux visites au Canada de femmes vietnamiennes directement touchées par la guerre.[36]

Duckworth a également été active auprès de lâorganisation communautaire, de la politique électorale et de la promotion des conditions féminines. En 1971, elle a contribué à lâétablissement du Movement for Citizens' Voice and Action (MOVE), une coalition de groupes communautaires, à Halifax Nouvelle-Écosse, travaillant pour un large éventail dâobjectifs, notamment les améliorations de lâéducation, de logement, de lâaide sociale et de la planification municipale.[8] Duckworth devint la première femme à Halifax à convoiter in siège à la Chambre dâassemblée de la Nouvelle-Écosse où elle a fait campagne comme candidate du Nouveau Parti démocratique lors des élections provinciales en 1974 et en 1978.[37] En 1976, elle devint un membre fondateur de lâInstitut canadien de recherches sur les femmes (ICREF), une organisation créée pour parrainer la diffusion de la recherche sur les problèmes touchant les femmes. Elle a été présidente de lâICREF en 1979 et en 1980.[38] Plus tard, elle a joué un rôle de premier plan lors de lâorganisation de la Conférence internationale des femmes pour la paix, qui sâest tenue à Halifax durant cinq jours en juin 1985.[39]

Duckworth a été la récipiendaire de nombreux honneurs dont le Prix du Gouverneur général en commémoration de lâaffaire âpersonneâ en1981 et lâOrdre du Canada en 1983.[10] En 1991, elle a reçu la Médaille Pearson pour la paix.[11] On lui a aussi décerné 10 diplômes honorifiques, dont celui de lâUniversité Mount Saint Vincent en 1978 et un autre de lâUniversité Dalhousie en 1987.[12] Lors de la célébration de son 100e anniversaire, Oxfam Canada a créé Les fonds Jack et Muriel Duckworth pour la citoyenneté mondiale active en reconnaissance de Duckworth et de son mari défunt pour leur leadership au travail pour la justice sociale.[40] Duckworth a reçu lâOrdre de la Nouvelle-Écosse (Order of NovaScotia), à titre posthume, le 2 septembre, 2009.[41]


Mort et héritage

Duckworth est tombée et sâest cassée la jambe en ao»t 2009 à son chalet au Québec. Elle a été traitée à lâhôpital de Magog, Québec, où son état sâest détérioré. Alors quâelle recevait des soins palliatifs, Duckworth aurait dit aux visiteurs, "Je vais vous quitter maintenant. Il est temps pour moi de partir. Tout est prêt." Puis elle ajouta: "Soyez heureux les uns avec les autres. Vous avez lâun lâautre. Adieu, je mâen vais maintenant." Sa mort imminente a attiré ce commentaire de son amie, la savante bien connue et militante, Ursula Franklin: "Je voudrais quâelle soit remémorée comme quelquâun qui a démontré quâil est possible de changer la société, dâêtre profondément critique tout en restant un membre respecté de cette société."[42] Muriel Duckworth est décédée le 22 ao»t 2009.[43] Son biographe, Marion Douglas Kerans a dit, "Elle a montré aux femmes comment devenir de véritables leaders dans leur communauté, et dans le monde, sans perdre leur élégance féminine."[44]


Notes

1. Kerans, Marion Douglas. (1996) Muriel Duckworth: A Very Active Pacifist. Halifax: Fernwood Publishing, p. 13.

2. Kerans, p.232.

3. Kerans, pp.182, 194 & 202.

4. Moore, Oliver. Obituary: Muriel Duckworth, 100 Globe and Mail August 22, 2009.

5. a b Kerans, p.90.

6. Kerans, pp. 97 & 110.

7. Kerans, p.170.

8. a b Kerans, p.162.

9. Lightstone, Michael. "Peace activist dies". The Chronicle Herald, August 23, 2009.

10. a b "Ordre du Canada". Gouverneur Général du Canada. http://www.gg.ca/honours/search-recherche/honours-desc.asp?lang=e&TypeID=orc&id=465. Extrait 2008-11-11.

11. a b Kerans, p.226.

12. a b Kerans, pp.226 & 228.

13. Kerans, pp.15-17.

14. Kerans, p.16. Pour plus de renseignements sur lâimportance des visites annuelles de Duckworth au chalet, consultez Kipping, Patricia. (1999) Muriel Duckworth: practising peace. [videorecording]. Halifax: Perversity Productions; Moving Images Distribution.

15. Kerans, 15-16.

16. Kerans, pp.17-18.

17. Kerans, pp.20-25.

18. a b Kerans, p.25.

19. Kerans, pp.27-28.

20. Kerans, pp.28-29.

21. a b Kerans, p.34.

22. Kerans, p.29-30.

23. a b Kerans, p.32.

24. Kerans, pp.31.

25. Kerans, p.35.

26. Kerans, pp.36-37.

27. a b Kerans, p.40.

28. Kerans, p.37.

29. Kerans, p.39.

30. Kerans, pp.39-40.

31. Kerans, pp.43 & 46.

32. Kerans, pp.65 & 68.

33. Kerans, p.175.

34. Kerans, p.97.

35. Kerans, p.110. Consultez aussi Levant, Victor. (1986) Quiet Complicity: Canadian Involvement in the Vietnam War. Toronto: Between The Lines, pp. 46âââ61.

36. Kerans, pp.124âââ129 & 130.

37. Kerans, pp.170 & 176.

38. Kerans, p.191.

39. Kerans, p.212.

40. "Concert et célébration lors du 100e anniversaire de Muriel Duckworth". Oxfam Canada. http://www.oxfam.ca/news-and-publications/news/stand-up-speak-out. Retrieved 2009-08-19.

41. Simpson, Jeffrey. "Five receive N.S. Order." The Chronicle Herald, September 3, 2009.

42. Moore, Oliver. "Legendary 100-year-old activist tells friends she's dying." Globe and Mail, August 21, 2009.

43. Lightstone, Michael. "Peace activist dies" The Chronicle Herald, August 23, 2009.

44. Beaumont, Hilary. "Duckworth's biographer remembers the 'Raging Granny'," Metro Halifax, August 24, 2009.


Références

Kerans, Marion Douglas. (1996) Muriel Duckworth: A Very Active Pacifist. Halifax: Fernwood Publishing. ISBN 1-895686-68-7

Kipping, Patricia. (1999) Muriel Duckworth: practising peace. [videorecording]. Halifax: Perversity Productions; Moving Images Distribution.

Levant, Victor. (1986) Quiet Complicity: Canadian Involvement in the Vietnam War. Toronto: Between The Lines. ISBN 0-919946-73-9


Liens externes

Médaille Pearson pour la paix - Muriel H. Duckworth

Muriel Duckworth

Canadian Voice of Women for Peace (La voix des femmes canadiennes pour la paix)

Nova Scotia Voice of Women for Peace (La voix des femmes de la Nouvelle- Écosse pour la paix)

Communiqué au sujet de la création des Fonds Jack et Muriel Duckworth pour la citoyenneté mondiale active en lâhonneur du 100e anniversaire de Muriel Duckworth


Sujets connexes dans la Bibliothèque Connexions (Édition française) Alternatives - Histoire gauche â Bibliothèques/Archives - Changement Social - Cet article est basé sur un ou plusieurs articles de Wikipedia, avec des modifications et un contenu supplémentaire contribué par les éditeurs de Connexions. Cet article, ainsi que tous renseignements tirés de Wikipedia, est couvert par une Licence Creative Commons Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 3.0 (CC-BY-SA) et la Licence de documentation libre GNU (GFDL). Nous apprécions votre aide pour lâamélioration et lâexpansion du contenu des articles Connexipedia, et la correction des erreurs. Connexipedia n'est pas un wiki: veuillez contacter Connexions par courriel si vous souhaitez contribuer. Nous recherchons également des collaborateurs intéressés à écrire des articles sur des sujets, des personnes, des événements et des organisations liées à la justice sociale et l'histoire des mouvements pour le changement social. Pour plus de renseignements, contactez Connexions


Contact
Appelez au 416-964-5735 ou Connexions envoyer un e-mail à l'adresse indiquée au bas de la page.